Participation du CRSN au Sommet Mondial de la santé

𝐵𝘦𝑟𝘭𝑖𝘯 𝘢𝑐𝘤𝑢𝘦𝑖𝘭𝑙𝘦 𝘤𝑒𝘵𝑡𝘦 𝘢𝑛𝘯𝑒́𝘦, 𝑑𝘶 13 𝑎𝘶 15 𝑜𝘤𝑡𝘰𝑏𝘳𝑒 2024, 𝑙𝘦 𝘚𝑜𝘮𝑚𝘦𝑡 𝑀𝘰𝑛𝘥𝑖𝘢𝑙 𝑑𝘦 𝘭𝑎 𝑆𝘢𝑛𝘵𝑒́ (𝘞𝐻𝘚), 𝘶𝑛 𝑒́𝘷𝑒́𝘯𝑒𝘮𝑒𝘯𝑡 𝑑𝘦 𝘱𝑟𝘦𝑚𝘪𝑒𝘳 𝘱𝑙𝘢𝑛 𝑞𝘶𝑖 𝑟𝘦́𝑢𝘯𝑖𝘵 𝘥𝑒𝘴 𝘥𝑒́𝘤𝑖𝘥𝑒𝘶𝑟𝘴 𝘱𝑜𝘭𝑖𝘵𝑖𝘲𝑢𝘦𝑠, 𝘥𝑒𝘴 𝘴𝑐𝘪𝑒𝘯𝑡𝘪𝑓𝘪𝑞𝘶𝑒𝘴, 𝑑𝘦𝑠 𝑟𝘦𝑝𝘳𝑒́𝘴𝑒𝘯𝑡𝘢𝑛𝘵𝑠 𝑑𝘶 𝘴𝑒𝘤𝑡𝘦𝑢𝘳 𝘱𝑟𝘪𝑣𝘦́, 𝑎𝘪𝑛𝘴𝑖 𝑞𝘶𝑒 𝑑𝘦𝑠 𝑎𝘤𝑡𝘦𝑢𝘳𝑠 𝑑𝘦 𝘭𝑎 𝑠𝘰𝑐𝘪𝑒́𝘵𝑒́ 𝑐𝘪𝑣𝘪𝑙𝘦 𝘥𝑢 𝑚𝘰𝑛𝘥𝑒 𝑒𝘯𝑡𝘪𝑒𝘳. 𝐶𝘦 𝘴𝑜𝘮𝑚𝘦𝑡, 𝘱𝑙𝘢𝑐𝘦́ 𝘴𝑜𝘶𝑠 𝑙𝘦 𝘵ℎ𝘦̀𝑚𝘦 « 𝐵𝘢̂𝑡𝘪𝑟 𝑙𝘢 𝘤𝑜𝘯𝑓𝘪𝑎𝘯𝑐𝘦 𝘱𝑜𝘶𝑟 𝑢𝘯 𝘮𝑜𝘯𝑑𝘦 𝘱𝑙𝘶𝑠 𝑠𝘢𝑖𝘯 », 𝘦𝑠𝘵 𝘶𝑛𝘦 𝘰𝑐𝘤𝑎𝘴𝑖𝘰𝑛 𝑝𝘳𝑒́𝘤𝑖𝘦𝑢𝘴𝑒 𝑝𝘰𝑢𝘳 𝘦𝑛𝘨𝑎𝘨𝑒𝘳 𝘥𝑒𝘴 𝘥𝑖𝘴𝑐𝘶𝑠𝘴𝑖𝘰𝑛𝘴 𝘴𝑢𝘳 𝘭𝑒𝘴 𝘦𝑛𝘫𝑒𝘶𝑥 𝑔𝘭𝑜𝘣𝑎𝘶𝑥 𝑑𝘦 𝘴𝑎𝘯𝑡𝘦́ 𝘦𝑡 𝑝𝘳𝑜𝘱𝑜𝘴𝑒𝘳 𝘥𝑒𝘴 𝘴𝑜𝘭𝑢𝘵𝑖𝘰𝑛𝘴 𝘪𝑛𝘯𝑜𝘷𝑎𝘯𝑡𝘦𝑠 𝑝𝘰𝑢𝘳 𝘢𝑚𝘦́𝑙𝘪𝑜𝘳𝑒𝘳 𝘭𝑎 𝑠𝘢𝑛𝘵𝑒́ 𝑒𝘵 𝘭𝑒 𝑏𝘪𝑒𝘯-𝘦̂𝑡𝘳𝑒 𝑑𝘦𝑠 𝑝𝘰𝑝𝘶𝑙𝘢𝑡𝘪𝑜𝘯𝑠.

Le Burkina Faso y est représenté par de l’Institut National de Santé Publique (INSP), une délégation conduite par le Docteur Ali SIE, Directeur du Centre de Recherche en Santé de Nouna. Cette équipe burkinabè, qui inclut également des membres de l’Institut Supérieur des Sciences de la Population (ISSP), participe activement aux sessions de discussions, en particulier celles centrées sur l’Afrique.

P𝑙u𝑠i𝑒u𝑟s s𝑒s𝑠i𝑜n𝑠 𝑠o𝑛t p𝑟é𝑣u𝑒s l𝑜r𝑠 𝑑e c𝑒 𝑠o𝑚m𝑒t ; à s𝑎v𝑜i𝑟 :

–           Intelligence Artificielle, Pandémies et Changement Climatique

–           Intelligence Artificielle et Santé

–           Maladies Pandémiques et Résilience des Systèmes de Santé

–           Changement Climatique et Santé

Vers des Solutions Innovantes pour un Monde Plus Sain

Le Sommet Mondial de la Santé 2024 vise à poser les bases d’un avenir plus sain à travers la collaboration internationale et l’innovation. La participation du Burkina Faso, par l’intermédiaire de l’INSP et de l’ISSP, souligne l’engagement du pays à contribuer activement aux discussions mondiales et à adopter des solutions adaptées à ses besoins spécifiques en matière de santé publique.

SRCP@CRSN 2024

Le consortium WEMA : changement climatique et santé mentale

Début octobre, l’Institut africain de recherche en santé (AHRI) a accueilli le consortium du projet WEMA sur son campus de Durban. Lancé en avril 2024, ce projet de 36 mois vise à explorer l’impact des événements météorologiques extrêmes (EWE) sur la santé mentale des populations vulnérables au Burkina Faso, au Mozambique, au Kenya et en Afrique du Sud.

Avec l’intensification du changement climatique, la fréquence et la gravité des vagues de chaleur, des inondations et des sécheresses devraient augmenter, affectant de manière disproportionnée les milieux pauvres en ressources déjà aux prises avec divers problèmes de santé. Souvent négligées, les répercussions de ces événements sur la santé mentale sont importantes et méritent qu’on s’y intéresse.

Le projet WEMA est le fruit d’une collaboration entre sept partenaires :

  • AHRI (Institut africain de recherche en santé)
  • APHRC (Centre africain de recherche sur la population et la santé)
  • CRSN (Centre de Recherche en Santé de Nouna)
  • CSM (Comité Para Saúde de Moçambique)
  • Université de Stellenbosch
  • HIGH (Institut de santé mondiale de Heidelberg)
  • Centre Bhekisisa pour le journalisme de santé

Ensemble, ces partenaires apportent une grande richesse d’expertise et de ressources pour relever les défis complexes posés par le changement climatique et son impact sur la santé mentale en Afrique.

https://www.ahri.org/ahri-hosts-wema-consortium-to-tackle-climate-change-and-mental-health/

SRCP@CRSN2024

Nouvelle publication scientifique

Exploring the relationship between Plasmodium falciparum genetic diversity and antimalarial drugs resistance markers in a malaria-endemic region of Burkina Faso

Moustapha Nikiema, Issiaka Soulama, Charles Quaye, Hamidou Ilboudo, Seni Nikiema, Justine Kabore, Clarisse Dah, Ali Sie, Athanase Badolo, Awa Gneme

Corresponding author: Moustapha Nikiema, Centre de Recherche en Santé de Nouna (CRSN), Burkina Faso 

Received: 04 Apr 2024 – Accepted: 12 Jun 2024 – Published: 18 Jul 2024

Domain: Molecular Biology,Parasitology

KeywordsPlasmodium falciparum, genetic diversity, antimalarial, resistance markers, Burkina Faso

https://panafrican-med-journal.com/content/article/48/118/full/

Restitution du Projet de Recherche ALIMUS

Restitution du Projet de Recherche « Une intervention en matière d’agro-bio-diversification et de nutrition en zone rurale au Burkina Faso »

Photo de groupe des participants à la restitution

Le jeudi 25 juillet, s’est tenu l’atelier de restitution du projet de recherche intitulé « Une intervention en matière d’agro-bio-diversification et de nutrition en zone rurale au Burkina Faso », mené par le Centre de Recherche en Santé de Nouna en collaboration avec l’Unité de Santé Publique de Heidelberg, la Direction Provinciale de l’Agriculture de la Kossi et le cabinet d’expertise agricole DEZLY Consulting. Cet événement a rassemblé de nombreuses parties prenantes intervenant dans les domaines de la nutrition, de la santé et des ONG partenaires au développement.

L’atelier a débuté par le discours d’ouverture du Secrétaire Général représentant monsieur le Haut-Commissaire de la province de la Kossi, qui a souligné l’importance de ce projet pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations rurales du Burkina Faso. Il a remercié les partenaires et les chercheurs pour leur engagement et leur travail acharné, en mettant en lumière les défis et les opportunités associés à l’agro-bio-diversification.

Représentant Haut Commissaire de la Kossi (droite) et le MCD de Nouna

Le projet, qui s’est déroulé de 2021 à 2024, visait à promouvoir des pratiques agricoles diversifiées et résilientes, tout en améliorant la nutrition des communautés rurales. Les résultats de la recherche ont montré que l’agro-bio-diversification peut significativement améliorer la sécurité alimentaire, augmenter les revenus des communautés et renforcer leur résilience face aux changements climatiques.

Les chercheurs du Centre de Recherche en Santé de Nouna et de l’Unité de Santé Publique de Heidelberg ont présenté les principales conclusions de l’étude, notamment l’impact positif de la diversification des cultures sur la nutrition et la santé des populations locales. Ils ont également discuté des défis rencontrés lors de la mise en œuvre du projet et des leçons apprises.

L’atelier a offert une plateforme pour des discussions et des échanges fructueux entre les participants. Les parties prenantes ont pu poser des questions, partager leurs expériences et proposer des recommandations pour la mise en œuvre à grande échelle des pratiques promues par le projet. Les discussions ont mis en évidence la nécessité d’un soutien continu des partenaires techniques et financiers, ainsi que l’importance de la formation et de l’accompagnement des agriculteurs.

La journée s’est terminée par une récapitulation des points saillants et des prochaines étapes pour la mise en œuvre des recommandations. Les participants ont exprimé leur satisfaction quant à la qualité des échanges et l’importance de continuer à travailler ensemble pour améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Burkina Faso.

Dr Mamadou BOUNTOGO, représentant le Directeur du CRSN

Cet atelier de restitution a été une étape importante pour la valorisation des résultats de la recherche et la promotion des jardins potagers communautaires comme une solution durable aux défis alimentaires et nutritionnels dans les zones rurales du Burkina Faso. Le succès de ce projet témoigne de l’importance de la collaboration entre les chercheurs, les agents d’agriculture, les communautés bénéficiaires, les partenaires techniques et financiers, ainsi que les organisations non gouvernementales pour atteindre des objectifs communs de développement durable.

SCRP@CRSN 2024

Treizième session du cours régional en SSE

Cette session, qui s’est déroulée sur deux semaines du 3 au 14 juin, a réuni des professionnels de la santé venus de 6 pays de la région à savoir, Mali, Guinée, Cameroun, Madagascar, RDC et du Burkina. Elle avait pour objectif d’améliorer les compétences techniques et opérationnelles des acteurs impliqués dans la surveillance et l’évaluation des projets/programmes de lutte contre le paludisme. Les participants ont pu bénéficier d’une formation théorique approfondie sur les dernières avancées scientifiques et pratiques en matière de surveillance, suivi et évaluation.

Au cours de cette session, plusieurs modules ont été abordés, tels que l’utilisation des nouvelles la collecte et l’analyse des données épidémiologiques, l’évaluation des politiques nationales de lutte contre le paludisme ou encore le renforcement des systèmes d’information sanitaire.

Les participants se sont montrés très satisfaits de cette formation. Ils ont souligné l’importance des connaissances acquises pour leur travail quotidien sur le terrain. Certains ont même exprimé leur souhait que ce genre d’initiatives se répète régulièrement afin d’être constamment à jour sur les nouvelles méthodes et stratégies dans la lutte contre cette maladie mortelle.

Le Secrétaire Général du ministère en charge de la santé a félicité les participants pour leur engagement dans la lutte contre le paludisme. Il a souligné l’importance cruciale de la surveillance, du suivi et de l’évaluation rigoureuse des programmes mis en place afin d’évaluer leur efficacité et de les adapter en fonction des besoins spécifiques de chaque région. Il a également encouragé les participants à partager leurs connaissances et expériences avec leurs collègues dans leurs pays respectifs.

La remise des certificats a été l’occasion de mettre en avant le travail accompli par chacun des participants. Ils ont été félicités pour leur assiduité, leur implication et la qualité de leurs contributions tout au long de la session. Les certificats remis attestent du niveau élevé des compétences acquises durant cette formation.

Cette treizième session du cours régional en surveillance, suivi et évaluation des programmes de lutte contre le paludisme s’est donc achevée sur une note très positive. Les participants repartent enrichis d’une expertise renforcée qui ne manquera pas de contribuer à l’amélioration significative des stratégies mises en place pour lutter contre cette maladie endémique dans la région.

Il est certain que cette formation aura un impact concret sur le terrain, permettant ainsi une meilleure prise en charge des cas de paludisme et une réduction significative du nombre de décès liés à cette maladie. Rendez-vous est pris pour la session similaire qui aura lieu dans en 2025 afin que davantage d’acteurs puissent bénéficier d’une telle expertise indispensable pour sauver des vies.

SCRP@CRSN

Publications CRSN de 2002 à mars 2024

Le CRSN est une organisation qui mène des recherches scientifiques dans domaine de la santé et de l’environnement . Il a à son actif un grand nombre ce publications scientifiques.
Les publications scientifiques du CRSN sont essentielles pour la diffusion des connaissances et des avancées dans les domaines de recherche spécifiques couverts par l’organisation. Ces publications sont toujours soumises à un processus d’évaluation par des pairs pour garantir la qualité et la crédibilité des recherches présentées.

𝐎𝐫𝐢𝐠𝐢𝐧𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐏𝐞𝐫𝐭𝐢𝐧𝐞𝐧𝐜𝐞
Les publications devraient présenter des résultats originaux et pertinents dans leur domaine respectif, contribuant ainsi à l’avancement des connaissances scientifiques.


𝐑𝐢𝐠𝐮𝐞𝐮𝐫 𝐦𝐞́𝐭𝐡𝐨𝐝𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞
Les recherches présentées devraient être menées selon des normes élevées de rigueur méthodologique, avec des méthodes appropriées et des analyses statistiques valides.


𝐂𝐥𝐚𝐫𝐭𝐞́ 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧
Les publications devraient être claires et bien organisées, facilitant la compréhension des lecteurs, même ceux qui ne sont pas spécialistes du domaine concerné.


𝐂𝐨𝐧𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐚𝐮𝐭𝐞́ 𝐬𝐜𝐢𝐞𝐧𝐭𝐢𝐟𝐢𝐪𝐮𝐞
Les publications du CRSN apportent des contributions significatives à la communauté scientifique, en proposant de nouvelles idées, des théories, des méthodologies ou des applications pratiques.

Liste des publications du CRSN de 2002 à mars 2024

Publication 2002 – Mars 2024

Retraite de travail du CRSN

Retraite de travail du Centre de Recherche en Santé de Nouna : Bilan et Perspectives

Photo de groupe de l’équipe du CRSN

Du 26 au 27 février, l’équipe de recherche du Centre de Recherche en Santé de Nouna (CRSN) s’est réunie lors d’une retraite de travail à Koudougou. Cette rencontre d’envergure avait pour but de passer en revue les différents projets de recherche en cours, d’évaluer leur avancement et de formuler des recommandations stratégiques pour accroître leur efficacité et leur performance.

Le CRSN, institution de dans le domaine de la recherche en santé au Burkina Faso, s’engage fermement dans la promotion de la santé et le développement de solutions innovantes pour relever les défis sanitaires auxquels la population est confrontée.

Durant ces deux jours intensifs, les chercheurs du CRSN ont eu l’opportunité d’échanger des idées, de partager leurs expériences et d’explorer de nouvelles avenues pour améliorer la qualité et l’impact de leurs travaux de recherche.

L’ordre du jour de la retraite a été marqué par une série de présentations détaillées sur chaque projet de recherche en cours, mettant en lumière les progrès réalisés, les défis rencontrés et les leçons apprises. Des discussions animées ont eu lieu, permettant à chacun de contribuer avec son expertise et ses perspectives uniques.

L’un des points forts de la retraite a été la mise en évidence des synergies et des collaborations potentielles entre les différents projets de recherche. Cette approche transversale favorise non seulement une utilisation optimale des ressources, mais aussi une compréhension plus approfondie des problématiques de santé complexes auxquelles le CRSN s’attaque.

Un aperçu des participants

En outre, ces sessions ont permis d’identifier des domaines clés nécessitant une attention particulière, tels que la mobilisation des ressources, le renforcement des capacités et l’engagement communautaire. Des plans d’action concrets ont été élaborés pour répondre à ces besoins et maximiser l’impact des activités de recherche du CRSN.

En somme, la retraite de travail du Centre de Recherche en Santé de Nouna à Koudougou a été un moment important pour la réflexion stratégique et la planification future. En rassemblant les ressources de l’institution, le CRSN est plus que jamais déterminé à relever les défis de la recherche en santé et à contribuer de manière significative à l’amélioration du bien-être de la population.

À travers cette démarche collaborative et visionnaire, le CRSN affirme son engagement envers l’excellence scientifique, l’innovation et la recherche de solutions durables pour les défis de santé publique auxquels le Burkina Faso est confronté.

Aperçu des participants

SCRP@CRSN 2024

𝕊𝕪𝕞𝕡𝕠𝕤𝕚𝕦𝕞 𝕕𝕖 𝔸𝕣𝕚𝕤𝕖𝕤 ℕ𝕖𝕥𝕨𝕠𝕣𝕜 𝕒̀ 𝔻𝕒𝕣 𝔼𝕤 𝕊𝕒𝕝𝕒𝕞

𝚄𝚗𝚎 𝚎́𝚚𝚞𝚒𝚙𝚎 𝚍𝚞 𝙲𝚁𝚂𝙽, 𝚌𝚘𝚗𝚍𝚞𝚒𝚝𝚎 𝚙𝚊𝚛 𝚜𝚘𝚗 𝚍𝚒𝚛𝚎𝚌𝚝𝚎𝚞𝚛 𝙳𝚛 𝙰𝚕𝚒 𝚂𝙸𝙴, 𝚙𝚊𝚛𝚝𝚒𝚌𝚒𝚙𝚎 𝚊𝚞 𝟻𝚎̀ 𝚜𝚢𝚖𝚙𝚘𝚜𝚒𝚞𝚖 𝚜𝚌𝚒𝚎𝚗𝚝𝚒𝚏𝚒𝚚𝚞𝚎 𝚍𝚞 𝚛𝚎́𝚜𝚎𝚊𝚞 𝙰𝚁𝙸𝚂𝙴, 𝚚𝚞𝚒 𝚌𝚘𝚖𝚖𝚎𝚗𝚌𝚎 𝚌𝚎 𝚓𝚘𝚞𝚛 𝟷𝟿 𝚓𝚊𝚗𝚟𝚒𝚎𝚛 𝚊̀ 𝙳𝚊𝚛 𝙴𝚜 𝚂𝚊𝚕𝚊𝚖, 𝚊𝚞𝚡 𝚌𝚘̂𝚝𝚎́𝚜 𝚍’𝚊𝚞𝚝𝚛𝚎𝚜 𝚙𝚊𝚛𝚝𝚎𝚗𝚊𝚒𝚛𝚎𝚜 𝚍𝚞 𝚛𝚎́𝚜𝚎𝚊𝚞 𝙰𝚁𝙸𝚂𝙴. 𝙾𝚋𝚓𝚎𝚌𝚝𝚒𝚏 𝚍𝚎 𝚌𝚎𝚝𝚝𝚎 𝚛𝚎𝚗𝚌𝚘𝚗𝚝𝚛𝚎 𝚜𝚌𝚒𝚎𝚗𝚝𝚒𝚏𝚒𝚚𝚞𝚎 est 𝚍𝚎 𝚝𝚛𝚊𝚗𝚜𝚏𝚘𝚛𝚖𝚎𝚛 𝚕𝚊 𝚛𝚎𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎 𝚜𝚞𝚛 𝚕𝚊 𝚜𝚊𝚗𝚝𝚎́ 𝚎𝚝 𝚕𝚊 𝚗𝚞𝚝𝚛𝚒𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚍𝚎𝚜 𝚊𝚍𝚘𝚕𝚎𝚜𝚌𝚎𝚗𝚝𝚜 𝚎𝚗 𝚙𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜 𝚌𝚘𝚗𝚌𝚛𝚎̀𝚝𝚎𝚜 𝚎𝚗 𝙰𝚏𝚛𝚒𝚚𝚞𝚎 𝚜𝚞𝚋𝚜𝚊𝚑𝚊𝚛𝚒𝚎𝚗𝚗𝚎

Qsᴄᴇ ǫᴜᴇ ʟ ʀsᴇᴀᴜ ARISE

𝙰𝚁𝙸𝚂𝙴 𝚎𝚜𝚝 𝚞𝚗 𝚛𝚎́𝚜𝚎𝚊𝚞 𝚍’𝚊𝚌𝚝𝚒𝚟𝚒𝚝𝚎́𝚜 𝚌𝚘𝚕𝚕𝚊𝚋𝚘𝚛𝚊𝚝𝚒𝚟𝚎𝚜 𝚍’𝚎́𝚍𝚞𝚌𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚎𝚝 𝚍𝚎 𝚛𝚎𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎 𝚎𝚗 𝙰𝚏𝚛𝚒𝚚𝚞𝚎 𝚌𝚛𝚎́𝚎́ 𝚙𝚊𝚛 𝚕𝚊 𝙷𝚊𝚛𝚟𝚊𝚛𝚍 𝚃. 𝙷. 𝙲𝚑𝚊𝚗 𝚂𝚌𝚑𝚘𝚘𝚕 𝚘𝚏 𝙿𝚞𝚋𝚕𝚒𝚌 𝙷𝚎𝚊𝚕𝚝𝚑 (𝙷𝚂𝙿𝙷) 𝚎𝚗 𝚙𝚊𝚛𝚝𝚎𝚗𝚊𝚛𝚒𝚊𝚝 𝚊𝚟𝚎𝚌 𝚕’𝙰𝚌𝚊𝚍𝚎́𝚖𝚒𝚎 𝚊𝚏𝚛𝚒𝚌𝚊𝚒𝚗𝚎 𝚍𝚎 𝚜𝚊𝚗𝚝𝚎́ 𝚙𝚞𝚋𝚕𝚒𝚚𝚞𝚎 (𝙰𝙰𝙿𝙷) 𝚎𝚝 𝚍𝚎𝚜 𝚒𝚗𝚜𝚝𝚒𝚝𝚞𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜/𝚘𝚛𝚐𝚊𝚗𝚒𝚜𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜 𝚍𝚎 𝚙𝚛𝚎𝚖𝚒𝚎𝚛 𝚙𝚕𝚊𝚗 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚝𝚘𝚞𝚝𝚎 𝚕𝚊 𝚛𝚎́𝚐𝚒𝚘𝚗 𝚊𝚏𝚛𝚒𝚌𝚊𝚒𝚗𝚎. 𝙼𝚒𝚜𝚎 𝚎𝚗 𝚙𝚕𝚊𝚌𝚎 𝚎𝚗 𝚓𝚞𝚒𝚗 𝟸0𝟷𝟺, 𝚕𝚘𝚛𝚜 𝚍’𝚞𝚗𝚎 𝚛𝚎́𝚞𝚗𝚒𝚘𝚗 𝚏𝚘𝚗𝚍𝚊𝚝𝚛𝚒𝚌𝚎 𝚝𝚎𝚗𝚞𝚎 𝚊̀ 𝙱𝚘𝚜𝚝𝚘𝚗, 𝙼𝙰, 𝚊𝚟𝚎𝚌 𝚝𝚘𝚞𝚜 𝚕𝚎𝚜 𝚙𝚊𝚛𝚝𝚎𝚗𝚊𝚒𝚛𝚎𝚜 𝚍𝚎𝚜 𝚎́𝚝𝚊𝚋𝚕𝚒𝚜𝚜𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝𝚜 𝚍’𝚎𝚗𝚜𝚎𝚒𝚐𝚗𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚎𝚝 𝚍𝚎 𝚛𝚎𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎 𝚍𝚎 𝚜𝚎𝚙𝚝 𝚙𝚊𝚢𝚜 𝚊𝚏𝚛𝚒𝚌𝚊𝚒𝚗𝚜, 𝚊̀ 𝚜𝚊𝚟𝚘𝚒𝚛 𝚕𝚎 𝙱𝚘𝚝𝚜𝚠𝚊𝚗𝚊, 𝚕’𝙴́𝚝𝚑𝚒𝚘𝚙𝚒𝚎, 𝚕𝚎 𝙶𝚑𝚊𝚗𝚊, 𝚕𝚎 𝙽𝚒𝚐𝚎𝚛𝚒𝚊, 𝚕’𝙰𝚏𝚛𝚒𝚚𝚞𝚎 𝚍𝚞 𝚂𝚞𝚍, 𝚕𝚊 𝚃𝚊𝚗𝚣𝚊𝚗𝚒𝚎 𝚎𝚝 𝚕’𝙾𝚞𝚐𝚊𝚗𝚍𝚊, 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚍𝚒𝚜𝚌𝚞𝚝𝚎𝚛 𝚍𝚎 𝚕’𝚊𝚟𝚊𝚗𝚌𝚎́𝚎 𝚍𝚎𝚜 𝚊𝚌𝚝𝚒𝚟𝚒𝚝𝚎́𝚜 𝚍’𝚎𝚗𝚜𝚎𝚒𝚐𝚗𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚎𝚝 𝚍𝚎 𝚛𝚎𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎 𝚌𝚘𝚘𝚛𝚍𝚘𝚗𝚗𝚎́𝚎𝚜 𝚎𝚝 𝚌𝚘𝚕𝚕𝚊𝚋𝚘𝚛𝚊𝚝𝚒𝚟𝚎𝚜 𝚊𝚏𝚒𝚗 𝚍𝚎 𝚌𝚘𝚖𝚋𝚕𝚎𝚛 𝚕𝚎𝚜 𝚕𝚊𝚌𝚞𝚗𝚎𝚜 𝚌𝚛𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜 𝚎𝚗 𝚖𝚊𝚝𝚒𝚎̀𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚜𝚊𝚗𝚝𝚎́ 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝚙𝚘𝚙𝚞𝚕𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗.

𝙲𝚎𝚝𝚝𝚎 𝚛𝚎𝚗𝚌𝚘𝚗𝚝𝚛𝚎 𝚊 𝚎́𝚝𝚎́ 𝚕’𝚘𝚌𝚌𝚊𝚜𝚒𝚘𝚗 𝚍𝚎 𝚌𝚛𝚎́𝚎𝚛 𝚞𝚗 𝚛𝚎́𝚜𝚎𝚊𝚞 𝚚𝚞𝚒 𝚜’𝚊𝚙𝚙𝚞𝚒𝚎 𝚜𝚞𝚛 𝚕𝚎𝚜 𝚗𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎𝚞𝚜𝚎𝚜 𝚊𝚌𝚝𝚒𝚟𝚒𝚝𝚎́𝚜 𝚍𝚎 𝚏𝚘𝚛𝚖𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚎𝚝 𝚍𝚎 𝚛𝚎𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎 𝚎𝚗 𝚌𝚘𝚞𝚛𝚜 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚎𝚜 𝚒𝚗𝚜𝚝𝚒𝚝𝚞𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜 𝚙𝚊𝚛𝚝𝚒𝚌𝚒𝚙𝚊𝚗𝚝𝚎𝚜 – 𝚕𝚎 𝚁𝚎́𝚜𝚎𝚊𝚞 𝚊𝚏𝚛𝚒𝚌𝚊𝚒𝚗 𝚍𝚎 𝚛𝚎𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎, 𝚍𝚎 𝚜𝚌𝚒𝚎𝚗𝚌𝚎 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝚖𝚒𝚜𝚎 𝚎𝚗 œ𝚞𝚟𝚛𝚎 𝚎𝚝 𝚍’𝚎́𝚍𝚞𝚌𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 (𝚁𝚎́𝚜𝚎𝚊𝚞 𝙰𝚁𝙸𝚂𝙴). 𝙿𝚊𝚛𝚖𝚒 𝚕𝚎𝚜 𝚒𝚗𝚜𝚝𝚒𝚝𝚞𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜 𝚖𝚎𝚖𝚋𝚛𝚎𝚜 𝚍𝚞 𝚛𝚎́𝚜𝚎𝚊𝚞 𝙰𝚁𝙸𝚂𝙴 𝚏𝚒𝚐𝚞𝚛𝚎𝚗𝚝 𝚕’𝙰𝚌𝚊𝚍𝚎́𝚖𝚒𝚎 𝚊𝚏𝚛𝚒𝚌𝚊𝚒𝚗𝚎 𝚍𝚎 𝚜𝚊𝚗𝚝𝚎́ 𝚙𝚞𝚋𝚕𝚒𝚚𝚞𝚎 𝚎𝚗 𝚃𝚊𝚗𝚣𝚊𝚗𝚒𝚎, 𝚕𝚊 𝙵𝚘𝚗𝚍𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚍𝚎 𝚛𝚎𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎 𝚍𝚎 𝚕’𝚄𝚗𝚒𝚟𝚎𝚛𝚜𝚒𝚝𝚎́ 𝚍’𝙸𝚋𝚊𝚍𝚊𝚗 𝚊𝚞 𝙽𝚒𝚐𝚎𝚛𝚒𝚊, 𝚕’𝚄𝚗𝚒𝚟𝚎𝚛𝚜𝚒𝚝𝚎́ 𝚍𝚎 𝙺𝚠𝚊𝚉𝚞𝚕𝚞-𝙽𝚊𝚝𝚊𝚕 𝚎𝚗 𝙰𝚏𝚛𝚒𝚚𝚞𝚎 𝚍𝚞 𝚂𝚞𝚍, 𝚕’𝙸𝚗𝚜𝚝𝚒𝚝𝚞𝚝 𝚗𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗𝚊𝚕 𝚍𝚎 𝚜𝚊𝚗𝚝𝚎́ 𝚙𝚞𝚋𝚕𝚒𝚚𝚞𝚎 – 𝙲𝚎𝚗𝚝𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚛𝚎𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎 𝚎𝚗 𝚜𝚊𝚗𝚝𝚎́ 𝚍𝚎 𝙽𝚘𝚞𝚗𝚊 𝚊𝚞 𝙱𝚞𝚛𝚔𝚒𝚗𝚊 𝙵𝚊𝚜𝚘, 𝚕’𝚄𝚗𝚒𝚟𝚎𝚛𝚜𝚒𝚝𝚎́ 𝚍𝚎 𝙼𝚊𝚔𝚎𝚛𝚎𝚛𝚎 – 𝙴́𝚌𝚘𝚕𝚎 𝚍𝚎 𝚜𝚊𝚗𝚝𝚎́ 𝚙𝚞𝚋𝚕𝚒𝚚𝚞𝚎 𝚎𝚗 𝙾𝚞𝚐𝚊𝚗𝚍𝚊, 𝚕’𝙸𝚗𝚜𝚝𝚒𝚝𝚞𝚝 𝚌𝚘𝚗𝚝𝚒𝚗𝚎𝚗𝚝𝚊𝚕 𝚍𝚎 𝚜𝚊𝚗𝚝𝚎́ 𝚙𝚞𝚋𝚕𝚒𝚚𝚞𝚎 𝚍’𝙰𝚍𝚍𝚒𝚜 𝚎𝚗 𝙴́𝚝𝚑𝚒𝚘𝚙𝚒𝚎, 𝚕𝚎 𝙲𝚎𝚗𝚝𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚛𝚎𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎 𝚎𝚗 𝚜𝚊𝚗𝚝𝚎́ 𝚍𝚎 𝙳𝚘𝚍𝚘𝚠𝚊 𝚊𝚞 𝙶𝚑𝚊𝚗𝚊 𝚎𝚝 𝚕’𝙴́𝚌𝚘𝚕𝚎 𝚍𝚎 𝚜𝚊𝚗𝚝𝚎́ 𝚙𝚞𝚋𝚕𝚒𝚚𝚞𝚎 𝚍𝚎 𝚕’𝚄𝚗𝚒𝚟𝚎𝚛𝚜𝚒𝚝𝚎́ 𝚍𝚞 𝙶𝚑𝚊𝚗𝚊, 𝚎́𝚐𝚊𝚕𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚊𝚞 𝙶𝚑𝚊𝚗𝚊

Panélistes

SCRP@CRSN 2024

Aᴢɪᴛʜʀᴏᴍʏᴄɪɴ ᴅᴜʀɪɴɢ Rᴏᴜᴛɪɴᴇ Wᴇʟʟ-Iɴғᴀɴᴛ Vɪsɪᴛs ᴛᴏ Pʀᴇᴠᴇɴᴛ Dᴇᴀᴛʜ

Aᴢɪᴛʜʀᴏᴍʏᴄɪɴ ᴅᴜʀɪɴɢ Rᴏᴜᴛɪɴᴇ Wᴇʟʟ-Iɴғᴀɴᴛ Vɪsɪᴛs ᴛᴏ Pʀᴇᴠᴇɴᴛ Dᴇᴀᴛʜ

  • Ali Sié, M.D., Ph.D., Mamadou Ouattara, M.D.,Mamadou Bountogo, M.D.,Valentin Boudo, M.S.,Thierry Ouedraogo, Ph.D.,Guillaume Compaoré, M.D.,Clarisse Dah, M.D.,Cheik Bagagnan, M.S.,
  • Elodie Lebas, R.N.,Huiyu Hu, M.S.P.H.,Jessica Rice, M.P.H.,Travis C. Porco, Ph.D., M.P.H.,Benjamin F. Arnold, Ph.D., M.P.H.,homas M. Lietman, M.D.,and Catherine E. Oldenburg, Sc.D., M.P.H.& all

𝐴𝑏𝑠𝑡𝑟𝑎𝑐𝑡

𝐵𝑎𝑐𝑘𝑔𝑟𝑜𝑢𝑛𝑑

𝑀𝑎𝑠𝑠 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑓 𝑎𝑧𝑖𝑡ℎ𝑟𝑜𝑚𝑦𝑐𝑖𝑛 𝑡𝑜 𝑐ℎ𝑖𝑙𝑑𝑟𝑒𝑛 1 𝑡𝑜 59 𝑚𝑜𝑛𝑡ℎ𝑠 𝑜𝑓 𝑎𝑔𝑒 ℎ𝑎𝑠 𝑏𝑒𝑒𝑛 𝑠ℎ𝑜𝑤𝑛 𝑡𝑜 𝑟𝑒𝑑𝑢𝑐𝑒 𝑐ℎ𝑖𝑙𝑑ℎ𝑜𝑜𝑑 𝑎𝑙𝑙-𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒 𝑚𝑜𝑟𝑡𝑎𝑙𝑖𝑡𝑦 𝑖𝑛 𝑠𝑜𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑏-𝑆𝑎ℎ𝑎𝑟𝑎𝑛 𝐴𝑓𝑟𝑖𝑐𝑎𝑛 𝑟𝑒𝑔𝑖𝑜𝑛𝑠, 𝑤𝑖𝑡ℎ 𝑡ℎ𝑒 𝑙𝑎𝑟𝑔𝑒𝑠𝑡 𝑟𝑒𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑒𝑛 𝑎𝑚𝑜𝑛𝑔 𝑖𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑦𝑜𝑢𝑛𝑔𝑒𝑟 𝑡ℎ𝑎𝑛 12 𝑚𝑜𝑛𝑡ℎ𝑠 𝑜𝑓 𝑎𝑔𝑒. 𝑊ℎ𝑒𝑡ℎ𝑒𝑟 𝑡ℎ𝑒 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑓 𝑎𝑧𝑖𝑡ℎ𝑟𝑜𝑚𝑦𝑐𝑖𝑛 𝑎𝑡 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑖𝑛𝑒 ℎ𝑒𝑎𝑙𝑡ℎ 𝑐𝑎𝑟𝑒 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑡𝑠 𝑓𝑜𝑟 𝑖𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑤𝑜𝑢𝑙𝑑 𝑏𝑒 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑖𝑛 𝑝𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑡𝑖𝑛𝑔 𝑑𝑒𝑎𝑡ℎ 𝑖𝑠 𝑢𝑛𝑐𝑙𝑒𝑎𝑟.

 𝑀𝑒𝑡ℎ𝑜𝑑𝑠

𝑊𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑑 𝑎 𝑟𝑎𝑛𝑑𝑜𝑚𝑖𝑧𝑒𝑑, 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑏𝑜-𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑜𝑙𝑙𝑒𝑑 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑙 𝑜𝑓 𝑎 𝑠𝑖𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑠𝑒 𝑜𝑓 𝑎𝑧𝑖𝑡ℎ𝑟𝑜𝑚𝑦𝑐𝑖𝑛 (20 𝑚𝑔 𝑝𝑒𝑟 𝑘𝑖𝑙𝑜𝑔𝑟𝑎𝑚 𝑜𝑓 𝑏𝑜𝑑𝑦 𝑤𝑒𝑖𝑔ℎ𝑡) 𝑎𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑟𝑒𝑑 𝑤𝑖𝑡ℎ 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑏𝑜, 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒𝑟𝑒𝑑 𝑑𝑢𝑟𝑖𝑛𝑔 𝑖𝑛𝑓𝑎𝑛𝑐𝑦 (5 𝑡𝑜 12 𝑤𝑒𝑒𝑘𝑠 𝑜𝑓 𝑎𝑔𝑒). 𝑇ℎ𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎𝑟𝑦 𝑒𝑛𝑑 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑤𝑎𝑠 𝑑𝑒𝑎𝑡ℎ 𝑏𝑒𝑓𝑜𝑟𝑒 6 𝑚𝑜𝑛𝑡ℎ𝑠 𝑜𝑓 𝑎𝑔𝑒. 𝐼𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑤𝑒𝑟𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑟𝑢𝑖𝑡𝑒𝑑 𝑎𝑡 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑖𝑛𝑒 𝑣𝑎𝑐𝑐𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑟 𝑜𝑡ℎ𝑒𝑟 𝑤𝑒𝑙𝑙-𝑐ℎ𝑖𝑙𝑑 𝑣𝑖𝑠𝑖𝑡𝑠 𝑖𝑛 𝑐𝑙𝑖𝑛𝑖𝑐𝑠 𝑎𝑛𝑑 𝑡ℎ𝑟𝑜𝑢𝑔ℎ 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑖𝑡𝑦 𝑜𝑢𝑡𝑟𝑒𝑎𝑐ℎ 𝑖𝑛 𝑡ℎ𝑟𝑒𝑒 𝑟𝑒𝑔𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑜𝑓 𝐵𝑢𝑟𝑘𝑖𝑛𝑎 𝐹𝑎𝑠𝑜. 𝑉𝑖𝑡𝑎𝑙 𝑠𝑡𝑎𝑡𝑢𝑠 𝑤𝑎𝑠 𝑎𝑠𝑠𝑒𝑠𝑠𝑒𝑑 𝑎𝑡 6 𝑚𝑜𝑛𝑡ℎ𝑠 𝑜𝑓 𝑎𝑔𝑒.

𝑅𝑒𝑠𝑢𝑙𝑡𝑠

𝑂𝑓 𝑡ℎ𝑒 32,877 𝑖𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑛𝑟𝑜𝑙𝑙𝑒𝑑 𝑓𝑟𝑜𝑚 𝑆𝑒𝑝𝑡𝑒𝑚𝑏𝑒𝑟 2019 𝑡ℎ𝑟𝑜𝑢𝑔ℎ 𝑂𝑐𝑡𝑜𝑏𝑒𝑟 2022, 𝑎 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑜𝑓 16,416 𝑖𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑤𝑒𝑟𝑒 𝑟𝑎𝑛𝑑𝑜𝑚𝑙𝑦 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒𝑑 𝑡𝑜 𝑎𝑧𝑖𝑡ℎ𝑟𝑜𝑚𝑦𝑐𝑖𝑛 𝑎𝑛𝑑 16,461 𝑡𝑜 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑏𝑜. 𝐸𝑖𝑔ℎ𝑡𝑦-𝑡𝑤𝑜 𝑖𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑖𝑛 𝑡ℎ𝑒 𝑎𝑧𝑖𝑡ℎ𝑟𝑜𝑚𝑦𝑐𝑖𝑛 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝 𝑎𝑛𝑑 75 𝑖𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑖𝑛 𝑡ℎ𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑏𝑜 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑖𝑒𝑑 𝑏𝑒𝑓𝑜𝑟𝑒 6 𝑚𝑜𝑛𝑡ℎ𝑠 𝑜𝑓 𝑎𝑔𝑒 (ℎ𝑎𝑧𝑎𝑟𝑑 𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜, 1.09; 95% 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑣𝑎𝑙 [𝐶𝐼], 0.80 𝑡𝑜 1.49; 𝑃=0.58); 𝑡ℎ𝑒 𝑎𝑏𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑒 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑖𝑛 𝑚𝑜𝑟𝑡𝑎𝑙𝑖𝑡𝑦 𝑤𝑎𝑠 0.04 𝑝𝑒𝑟𝑐𝑒𝑛𝑡𝑎𝑔𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑛𝑡𝑠 (95% 𝐶𝐼, −0.10 𝑡𝑜 0.21). 𝑇ℎ𝑒𝑟𝑒 𝑤𝑎𝑠 𝑛𝑜 𝑒𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑜𝑓 𝑎𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡 𝑜𝑓 𝑎𝑧𝑖𝑡ℎ𝑟𝑜𝑚𝑦𝑐𝑖𝑛 𝑜𝑛 𝑚𝑜𝑟𝑡𝑎𝑙𝑖𝑡𝑦 𝑖𝑛 𝑎𝑛𝑦 𝑜𝑓 𝑡ℎ𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑠𝑝𝑒𝑐𝑖𝑓𝑖𝑒𝑑 𝑠𝑢𝑏𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑠, 𝑖𝑛𝑐𝑙𝑢𝑑𝑖𝑛𝑔 𝑠𝑢𝑏𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑠 𝑑𝑒𝑓𝑖𝑛𝑒𝑑 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑𝑖𝑛𝑔 𝑡𝑜 𝑎𝑔𝑒, 𝑠𝑒𝑥, 𝑎𝑛𝑑 𝑏𝑎𝑠𝑒𝑙𝑖𝑛𝑒 𝑤𝑒𝑖𝑔ℎ𝑡, 𝑎𝑛𝑑 𝑛𝑜 𝑒𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑜𝑓 𝑎 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑏𝑒𝑡𝑤𝑒𝑒𝑛 𝑡ℎ𝑒 𝑡𝑤𝑜 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑙 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑠 𝑖𝑛 𝑡ℎ𝑒 𝑖𝑛𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑜𝑓 𝑎𝑑𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒 𝑒𝑣𝑒𝑛𝑡𝑠.

𝐶𝑜𝑛𝑐𝑙𝑢𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠

𝐼𝑛 𝑡ℎ𝑖𝑠 𝑡𝑟𝑖𝑎𝑙 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑑 𝑖𝑛 𝐵𝑢𝑟𝑘𝑖𝑛𝑎 𝐹𝑎𝑠𝑜, 𝑤𝑒 𝑓𝑜𝑢𝑛𝑑 𝑡ℎ𝑎𝑡 𝑎𝑑𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑓 𝑎𝑧𝑖𝑡ℎ𝑟𝑜𝑚𝑦𝑐𝑖𝑛 𝑡𝑜 𝑖𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑡ℎ𝑟𝑜𝑢𝑔ℎ 𝑡ℎ𝑒 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑖𝑛𝑔 ℎ𝑒𝑎𝑙𝑡ℎ 𝑐𝑎𝑟𝑒 𝑠𝑦𝑠𝑡𝑒𝑚 𝑑𝑖𝑑 𝑛𝑜𝑡 𝑝𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑎𝑡ℎ. (𝐹𝑢𝑛𝑑𝑒𝑑 𝑏𝑦 𝑡ℎ𝑒 𝐵𝑖𝑙𝑙 𝑎𝑛𝑑 𝑀𝑒𝑙𝑖𝑛𝑑𝑎 𝐺𝑎𝑡𝑒𝑠 𝐹𝑜𝑢𝑛𝑑𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛; 𝐶𝐻𝐴𝑇 𝐶𝑙𝑖𝑛𝑖𝑐𝑎𝑙𝑇𝑟𝑖𝑎𝑙𝑠.𝑔𝑜𝑣 𝑛𝑢𝑚𝑏𝑒𝑟, 𝑁𝐶𝑇03676764. 𝑜𝑝𝑒𝑛𝑠 𝑖𝑛 𝑛𝑒𝑤 𝑡𝑎𝑏.)

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https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2309495

 

Pʀᴏғɪʟ ᴅᴇs ᴜᴛɪʟɪsᴀᴛʀɪᴄᴇs ᴇᴛ ғᴀᴄᴛᴇᴜʀs ᴀssᴏᴄɪᴇ́s ᴀ̀ ʟᴀ sᴀᴛɪsғᴀᴄᴛɪᴏɴ ᴅᴇs ᴄʟɪᴇɴᴛᴇs ᴅᴇ ʟᴀ ǫᴜᴀʟɪᴛᴇ́ ᴅᴇs SAA

Pʀᴏғɪʟ ᴅᴇs ᴜᴛɪʟɪsᴀᴛʀɪᴄᴇs ᴇᴛ ғᴀᴄᴛᴇᴜʀs ᴀssᴏᴄɪᴇ́s ᴀ̀ ʟᴀ sᴀᴛɪsғᴀᴄᴛɪᴏɴ ᴅᴇs ᴄʟɪᴇɴᴛᴇs ᴅᴇ ʟᴀ ǫᴜᴀʟɪᴛᴇ́ ᴅᴇs sᴏɪɴs ᴀᴘʀᴇ̀s ᴀᴠᴏʀᴛᴇᴍᴇɴᴛ ᴀᴜ Bᴜʀᴋɪɴᴀ Fᴀsᴏ: ᴇ́ᴛᴜᴅᴇ ᴛʀᴀɴsᴠᴇʀsᴀʟᴇ ᴍᴇɴᴇ́ᴇ ᴅᴀɴs sɪx ʀᴇ́ɢɪᴏɴs

Rᴇ́sᴜᴍᴇ́

Rᴇ́sᴜᴍᴇ́

Mᴀʟɢʀᴇ́ ʟᴀ ᴅᴇ́ᴘᴇ́ɴᴀʟɪsᴀᴛɪᴏɴ ᴅᴇ ʟ’ᴀᴠᴏʀᴛᴇᴍᴇɴᴛ ᴇᴛ ʟᴀ ɢʀᴀᴛᴜɪᴛᴇ́ ᴅᴇs sᴏɪɴs ᴀᴘʀᴇ̀s ᴀᴠᴏʀᴛᴇᴍᴇɴᴛ (SAA), ʟᴇs ꜰᴇᴍᴍᴇs Bᴜʀᴋɪɴᴀʙᴇ̀ ᴠɪᴠᴇɴᴛ ᴅᴇs ʀᴇʟᴀᴛɪᴏɴs ᴅɪꜰꜰɪᴄɪʟᴇs ᴀᴠᴇᴄ ʟᴇs sᴏɪɢɴᴀɴᴛs. Cᴇᴛᴛᴇ ᴇ́ᴛᴜᴅᴇ ᴠɪsᴇ ᴀ̀ ᴅᴇ́ᴛᴇʀᴍɪɴᴇʀ ʟᴇ ᴘʀᴏꜰɪʟ ᴅᴇs ꜰᴇᴍᴍᴇs ʀᴇᴄᴇᴠᴀɴᴛ ᴅᴇs SAA, ʟᴇᴜʀ ᴘᴇʀᴄᴇᴘᴛɪᴏɴ ᴅᴇ ʟᴀ ǫᴜᴀʟɪᴛᴇ́ ᴅᴇs SAA ᴇᴛ sᴇs ᴅᴇ́ᴛᴇʀᴍɪɴᴀɴᴛs ᴅᴀɴs ᴅᴇs sᴛʀᴜᴄᴛᴜʀᴇs sᴀɴɪᴛᴀɪʀᴇs ᴘᴜʙʟɪǫᴜᴇs ᴇᴛ ᴄᴏɴꜰᴇssɪᴏɴɴᴇʟʟᴇs ᴅᴜ ᴘᴀʏs. Uɴᴇ ᴇɴǫᴜᴇ̂ᴛᴇ ǫᴜᴀɴᴛɪᴛᴀᴛɪᴠᴇ ᴀ ᴇ́ᴛᴇ́ ᴍᴇɴᴇ́ᴇ ᴀᴜᴘʀᴇ̀s ᴅᴇ 2174 ꜰᴇᴍᴍᴇs ᴠᴜᴇs ᴘᴏᴜʀ ᴅᴇs SAA ᴇᴛ ʀᴇᴄʀᴜᴛᴇ́ᴇs ᴅᴇ ꜰᴀᴄ̧ᴏɴ ᴇxʜᴀᴜsᴛɪᴠᴇ ᴅᴇ 2018 ᴀ̀ 2020. Uɴ ǫᴜᴇsᴛɪᴏɴɴᴀɪʀᴇ sᴛʀᴜᴄᴛᴜʀᴇ́ ᴀ ᴇ́ᴛᴇ́ ᴀᴅᴍɪɴɪsᴛʀᴇ́ ᴀ̀ ʟᴀ sᴏʀᴛɪᴇ ᴅᴇs sᴏɪɴs. Uɴᴇ ᴀɴᴀʟʏsᴇ ᴜɴɪ-, ʙɪ- ᴇᴛ ᴍᴜʟᴛɪᴠᴀʀɪᴇ́ᴇ ᴀ ᴇ́ᴛᴇ́ ꜰᴀɪᴛᴇ. Lᴀ ᴍᴀᴊᴏʀɪᴛᴇ́ ᴅᴇs ᴄʟɪᴇɴᴛᴇs ᴅᴇ SAA ᴠɪᴠᴀɪᴛ ᴇɴ ᴍɪʟɪᴇᴜ ʀᴜʀᴀʟ (55%), ᴀᴠᴀɪᴛ 25 ᴀɴs ᴇᴛ ᴘʟᴜs (60%), ᴠɪᴠᴀɪᴛ ᴇɴ ᴄᴏᴜᴘʟᴇ (87%) ᴇᴛ ᴇ́ᴛᴀɪᴛ sᴀɴs-ᴇᴍᴘʟᴏɪ (59%). Lᴀ ɢʀᴏssᴇssᴇ ᴇ́ᴛᴀɪᴛ ɴᴏɴ ᴅᴇ́sɪʀᴇ́ᴇ ᴄʜᴇᴢ 17% ᴅᴇs ꜰᴇᴍᴍᴇs ᴇᴛ 4% ᴅ’ᴇɴᴛʀᴇ ᴇʟʟᴇs sᴏᴜʜᴀɪᴛᴀɪᴇɴᴛ ᴀᴠᴏʀᴛᴇʀ. Lᴀ sᴀᴛɪsꜰᴀᴄᴛɪᴏɴ ɢʟᴏʙᴀʟᴇ ᴅᴇ ʟᴀ ǫᴜᴀʟɪᴛᴇ́ ᴅᴇs SAA ᴇ́ᴛᴀɪᴛ ᴅᴇ 84%. Dᴀɴs ʟ’ᴀɴᴀʟʏsᴇ ᴍᴜʟᴛɪᴠᴀʀɪᴇ́ᴇ, sᴇs ᴅᴇ́ᴛᴇʀᴍɪɴᴀɴᴛs ᴇ́ᴛᴀɪᴇɴᴛ ʟᴀ ʀᴇ́sɪᴅᴇɴᴄᴇ ᴇɴ ᴍɪʟɪᴇᴜ ʀᴜʀᴀʟ (OR = 1.80 [1.38; 2.34]), ᴜɴ ɴɪᴠᴇᴀᴜ sᴄᴏʟᴀɪʀᴇ ᴘʀɪᴍᴀɪʀᴇ (OR = 1.48 [1.06; 2.07]) ᴏᴜ sᴇᴄᴏɴᴅᴀɪʀᴇ (OR = 1.95 [1.38; 2.74]), ᴇᴛ ᴀᴠᴏɪʀ ᴇᴜ ᴀᴜ ᴍᴏɪɴs ᴜɴ ᴇɴꜰᴀɴᴛ (OR = 1.43 [1.02; 2.00]). Lᴇs ꜰᴀᴄᴛᴇᴜʀs ᴀssᴏᴄɪᴇ́s ᴀ̀ ᴜɴᴇ ꜰᴀɪʙʟᴇ sᴀᴛɪsꜰᴀᴄᴛɪᴏɴ ᴅᴇs SAA ᴇ́ᴛᴀɪᴇɴᴛ ᴜɴᴇ ɢʀᴏssᴇssᴇ ɴᴏɴ ᴅᴇ́sɪʀᴇ́ᴇ (OR = 0.64 [0.46; 0.89]) ᴏᴜ ᴀᴠᴏɪʀ sᴏᴜʜᴀɪᴛᴇ́ ᴀᴠᴏʀᴛᴇʀ (OR = 0.09 [0.05; 0.16]). Lᴇ ɴɪᴠᴇᴀᴜ ᴅᴇ sᴀᴛɪsꜰᴀᴄᴛɪᴏɴ ɢʟᴏʙᴀʟᴇ ᴇsᴛ ᴀᴄᴄᴇᴘᴛᴀʙʟᴇ ᴍᴀɪs ꜰᴀɪʙʟᴇ ᴄʜᴇᴢ ʟᴇs ᴄʟɪᴇɴᴛᴇs ᴀʏᴀɴᴛ sᴏᴜʜᴀɪᴛᴇ́ ᴀᴠᴏʀᴛᴇʀ. Iʟ ᴇsᴛ ꜰᴏɴᴅᴀᴍᴇɴᴛᴀʟ ᴅ’ᴏʀɢᴀɴɪsᴇʀ ᴜɴ ᴘʀᴏɢʀᴀᴍᴍᴇ ᴅᴇ ꜰᴏʀᴍᴀᴛɪᴏɴ ᴅᴇs ᴘʀᴏꜰᴇssɪᴏɴɴᴇʟs ᴅᴇs SAA sᴜʀ ʟᴀ ᴄᴏᴍᴍᴜɴɪᴄᴀᴛɪᴏɴ, ʟᴀ ʀᴇʟᴀᴛɪᴏɴ ɪɴᴛᴇʀᴘᴇʀsᴏɴɴᴇʟʟᴇ ᴇᴛ ʟ’ᴇᴍᴘᴀᴛʜɪᴇ ᴘᴇɴᴅᴀɴᴛ ʟᴇs sᴏɪɴs ᴅᴇ sᴀɴᴛᴇ́.

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https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/26410397.2023.2272483